Couvrir ses proches à travers une assurance
Le principal intérêt de souscrire à une assurance c’est bien sûr de bénéficier d’une couverture en cas d’accident ou dans les moments difficiles. Néanmoins, elle est également profitable aux personnes juridiquement proches de l’assuré. Il s’agit en fait d’un acte permettant la transmission d’une partie de son patrimoine à ses ayants cause et conjoint. Il faudra quand même dans ce cas bien connaître et adapter les termes du contrat. Consulter un spécialiste comme un avocat ou un simple consultant dans ce domaine pourrait faciliter les choses. Sinon vous risquez de nombreux désagréments judiciaires surtout par rapport à la législation fiscale.
choisir votre compagnie d’assurance
Les avantages offerts par le contrat d’assurance dépendent de la compagnie elle-même. Il faut s’assurer que celle-ci propose des prestations flexibles qui prévoient toutes les éventualités. Les termes de cet acte sont négociables. Le réflexe de toute personne voulant une protection effective consiste à s’adresser à de grandes entreprises. Pourtant, si l’on sait bien chercher, il existe de jeunes compagnies qui proposent des assurances avantageuses. Malheureusement ils font l’objet de manœuvres de mauvaise foi venant de leurs rivaux. Telle est le cas de l’assurance DMA. Toutefois il semble que les gens préfèrent désormais se fier à leur propre jugement pour décider de faire ou non confiance à un assureur. Il est intéressant de lire un article sur ce sujet comme sur le Blog http://www.escroc-dma.org. De toute manière toute personne diligente et prudente prendra le temps de vérifier une information avant de crier au scandale, surtout lorsqu’il s’agit des informations sur le net.
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Le pratique démembrement de la cause bénéficiaire
La couverture des bénéficiaires par l’assurance vie ne prend effet qu’après le décès de l’assuré. Il y aura alors un transfert normal du capital aux hérités. Le démembrement de la clause bénéficiaire permet de faire profiter du capital de l’assuré d’abord au conjoint et ensuite aux enfants ou véritables héritiers. Il suffit de démembrer le droit réel portant sur l’assurance vie. Ainsi, il y aura deux sortes d’ayant cause. Le conjoint sera considéré comme l’usufruitier. Il a le droit d’usage et de perception des fruits du capital et le droit de se servir d’un bien. Et les enfants seront le nu-propriétaire. Ces derniers auront à disposition le capital sans pour autant en jouir. Ce sont eux qui sont les véritables redevables du prélèvement. La compagnie d’assurance les ponctionnera indirectement sur la somme versée à l’usufruitier. Ce dernier pourra demander un remboursement aux nus-propriétaires.
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